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Les syllabes et la consonne, oh!

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Les syllabes et la consonne, oh!
(Elles se lient à la fin) (Une histoire loufoque)

b Le beau et jeune galibot,
Arrivait à la mine avec son pied bot.
Jouait-il un rôle, il était un peu cabot.
Cela faisait un bail que ses parents ne payaient plus les baux.


c Après sa naissance dans son petit berceau,
Ou sa maman lui faisait de grands et petits bécots,
Lui disant que s’il ne faisait pas d’accroc, il aurait un cerceau.
Ses parents ne voulaient pas avoir à faire au garde des sceaux.


d Du dur travail dans les mines, ils en avaient plein le dos,
Suant souvent dans les nappes d’eau, ils descendaient crescendo,
Chargeant les wagonnets attelés avec le bardot,
Priant et appelant le bon bedeau par son petit pseudo.


f Ce travail est trop dur et je me porte en faux,
Je préfère l’agriculture et le travail de la faux,
Le courage au fond du puits me fait défaut,
L’amour des animaux, c’est cela qu’il me faut.


g Mais ne soyons pas trop démago,
Et éteignons donc ce petit mégot,
De travail, ne pouvons changer tout de go,
Des voisins, méfions-nous des ragots.


h Commençons par aller tout là haut,
Pour aller consulter la psycho,
Sans avoir à ouvrir le réchaud,
Pour cette histoire un peu hot.


j C’est vrai, du « j », je suis un peu barjot,
En trichant avec « g » pour pouvoir vider ce cageot,
Mais pour enfin revenir, je vais voir Jojo,
Pour danser, encore et encore, au Balajo.


k Las, épuisé, j’étais tellement KO,
Que déguisant le « k » pour en faire le chaos,
Je dégustais délicatement ce très bon cacao,
Il était aussi bon que ce grand curaçao.


l Mais mon lot, c’est bien sûr le boulot,
Pas celui de construire des bibelots,
Se décontracter en faisant du vélo,
Ou sur le stade, lancer le javelot


m J’aime la promenade à dos de chameau,
J’allais à la mer de sable pas très loin de Meaux
J’avais ma p’tite thermo pour enlever tous mes maux,
Et pour cela, pas besoin de grande démo.


n J’aimais bien le Japon, j’n’étais pas trop parano,
Et pour la culture, j’allais au théâtre no,
Continuer au concert, entendre la soprano,
Si bien accompagné par le maestro au piano.


p Mais je n’ai vraiment pas de pot,
Au tournant, je tombais sur un tripot,
Et des malfrats voulaient me faire la peau,
Et me mettre à l’écart derrière le dépôt.


r C’était un très grand entrepôt de terreau,
Ils se prenaient tous pour des pros,
Me firent un grand numéro qui me fit faire un rot,
Mais ce qu’ils voulaient, c’étaient trop d’euros


s Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que j’étais du verseau,
Et loin d’être un grand sot,
Je me défendais avec le tasseau,
Qui était entreposé près du seau.


t Après le concerto et l’éloignement des tréteaux,
Avant de prendre mon auto, je les pris en photo,
Leur taux d’alcool, ils l’avaient depuis déjà très tôt,
Je les laissais baba, mais c’n’étaient pas des gâteaux.


v Bravo, me dit le nouveau prévôt,
Ils ressemblent tous à des veaux,
Même cachés derrière les travaux.
A dieu, je devais cette chance et je devins dévot.


wxyzq Vous me direz, il manque des consonnes,
Mais que ceux qui trouvent, me sonnent !
Who pour « w » et pour le « x » oxo
Pour faire du yoyo au zoo, faisons un zoom du disquo.
Luron1er
 
#3
Quel travail de titan Maestro
du début à la fin s'en est trop
Vaut pas la peine de prendre le métro
C'est la valse des syllabes et consonnes rétro
La belle kyrielle sans aucun défaut

Félicitations,
Amitiés, Poly