Ce soir j’ai la tête pleine d’idées,
Idées que je ne sais même pas coucher sur papier...
Idées noires qui me reviennent ce soir,
Idées qui me poussent à vous dire au revoir...
Je suis à bout de souffle,
Tout ce qui m’entour m’étouffe...
Je voudrais crier, hurler,
Mais on me refuse cette liberté...
Sang qui coule dans mes veines,
Sang glacial qui m’empêche de rester sereine...
Quand aurais-je le courage de te laisser couler,
Te laisser lentement me quitter...
Pincement au coeur à mon réveil,
Encore une fois je ne vois pas le soleil...
Soleil qu’on ne cesse de me promettre,
Mais que, semblerait-il, je ne peux me permettre...
Étendue sur mon lit, seule je ris,
M’imaginant là, sans âme, sans vie...
Doucement je divague, je sombre,
Douce folie qui m’enivre, viens chercher mon ombre...
Amnésie je suis à ta portée,
Aller viens sur moi te pencher...
Offres moi ce cadeau, cette délivrance,
Qui enfin pourrait abréger mes souffrances...
Je plane, je délire,
Seule je ne peux m’arrêter de rire...
Allongée sur mes draps blancs,
Je les vois bien pour une fois immaculés de sang...
Manque de courage ou de volonté,
Encore une fois je ne suis capable de m’y raisonner...
Lentement je reviens dans ce monde,
Là où tout ce qui m’entoure s’effondre...
Il en reste que cette folie une fois de plus m’a libéré,
Me laissant en paix imaginer...
Mes parents et amis à mon enterrement en deuil,
Me voyant couchée enfin en paix dans ce cercueil...
Egoïste d’avoir de telles pensées,
Oui sans doute, je vous le laisse me le reprocher...
Mais pour ma part je garde toujours en pensées,
Que c’est de cette façon que ceux que j’aime, je cesserai de les blesser...
Idées que je ne sais même pas coucher sur papier...
Idées noires qui me reviennent ce soir,
Idées qui me poussent à vous dire au revoir...
Je suis à bout de souffle,
Tout ce qui m’entour m’étouffe...
Je voudrais crier, hurler,
Mais on me refuse cette liberté...
Sang qui coule dans mes veines,
Sang glacial qui m’empêche de rester sereine...
Quand aurais-je le courage de te laisser couler,
Te laisser lentement me quitter...
Pincement au coeur à mon réveil,
Encore une fois je ne vois pas le soleil...
Soleil qu’on ne cesse de me promettre,
Mais que, semblerait-il, je ne peux me permettre...
Étendue sur mon lit, seule je ris,
M’imaginant là, sans âme, sans vie...
Doucement je divague, je sombre,
Douce folie qui m’enivre, viens chercher mon ombre...
Amnésie je suis à ta portée,
Aller viens sur moi te pencher...
Offres moi ce cadeau, cette délivrance,
Qui enfin pourrait abréger mes souffrances...
Je plane, je délire,
Seule je ne peux m’arrêter de rire...
Allongée sur mes draps blancs,
Je les vois bien pour une fois immaculés de sang...
Manque de courage ou de volonté,
Encore une fois je ne suis capable de m’y raisonner...
Lentement je reviens dans ce monde,
Là où tout ce qui m’entoure s’effondre...
Il en reste que cette folie une fois de plus m’a libéré,
Me laissant en paix imaginer...
Mes parents et amis à mon enterrement en deuil,
Me voyant couchée enfin en paix dans ce cercueil...
Egoïste d’avoir de telles pensées,
Oui sans doute, je vous le laisse me le reprocher...
Mais pour ma part je garde toujours en pensées,
Que c’est de cette façon que ceux que j’aime, je cesserai de les blesser...
